L’éternel sourire de Davis Alexander a cédé la place à un largo silencio, puis à des larmes et à un trémolo dans sa voix, jeudi, au second de commenter le contrat faisant de lui le nouveau quart-arrière numéro un des Alouettes de Montréal .
• CRÓNICA DE MARC CALIXTE: Davis Alexander quiere trabajar en Montreal
La tentación de tres años, que rejouit forcement l’athlète de 26 años, vient conclure un año fértil en emociones au cours de laquelle son père, Matt, est fallecido a 56 años, à la suite d’une bataille contre le most cancers du poumon, el 31 de agosto de este año.
«Je sais qu’il n’est plus nécessairement avec moi, mais il reste avec moi pour toujours», a laissement tomber Alexander, les yeux dans l’eau.
De toute évidence, le quart-arrière aurait adoré partager la nouvelle entourant son nouveau contrat avec son difunt père. Il ainsi rappelé de précieux souvenirs vécus avec lui lors des debuts de son aventure avec les Alouettes en 2022.
«C’était une période intenso où je me battais pour avoir une carrière dans le soccer et quand j’ai finalement reçu l’appel comme quoi j’avais un premier contrat avec les Alouettes, je me souviens que j’avais les larmes aux yeux et la première personne que j’ai contactée avait été mon père, at-il confié, lors d’une conférence de presse tenue dans le vestiaire des Alouettes, au Stade olympique. C’était un second spécial pour nous que je n’oublierai jamais.»
El soporte de Kenzie
A ses côtés, el director common Danny Maciocia lui aussitôt donné una petite tape sur la cuisse en guise de soutien. Además, Alexander a souligné l’appui de sa mère, de sa belle-mère, de son frère, mais aussi celui de sa copine, Kenzie, entre otros.
Présente dans le vestiaire des Alouettes, jeudi, Kenzie Stefanski était justement là pour appuyer son homme, vêtue d’un chandail bleu arborant le número 10, celui d’Alexander.
«C’était difficile de le voir comme ça, j’étais moi-même émotive colgante la conferencia de prensa, mais il a bien géré la situación en parlant avec son cœur», at-elle commenté, avec fierté.
Davis Alexander, acompañado de copine, Kenzie Stefanski.
Foto Benoît Rioux, Le Journal de Montréal
Originaria de Kelowna, en Colombia-Britannique, la jeune femme s’est dite heureuse de venir s’établir à Montréal, adherant au fait qu’Alexander deviendra à compter de la saison prochaine l’un des principaux visages de l’équipe.
«C’est fantastique et c’est bien, automobile, à mes yeux, il possède l’un des plus beaux sourires au monde», at-elle souligné, avec humor et tendresse.
Habilement, Alexander a quant à lui répété le mantra del entraîneur-chef Jason Maas en rapelant qu’il demeure un easy morceau dans le idea d’équipe. Le aussitôt assuré ne pas resentir una pression supplémentaire et confirmé qu’il restera la même personne.
«Le quart-arrière est une pièce importante, mais je ne suis absolument rien sans mes coéquipiers, mes frères, mais aussi sans les entraîneurs et les dirigeants, at-il noté. On forme un tout.»
Reconocimiento envers Fajardo
S’il a reçu les felicitations de plusieurs coéquipiers, dont ses bons amis Tyson Philpot and Tyler Snead, the nouveau quart-arrière numéro un des Alouettes dit conserva una profunda amistad con Cody Fajardo, qui, à moins d’une sorpresa, se retrouvera bientôt sous d’autres cieux.
«On a beaucoup de respect l’un pour l’autre, a mencioné Alexander, qui a échangé plusieurs message textes avec Fajardo dans les dernières semaines. Es una situación difícil, pero no hay ningún malestar entre nosotros. Il m’a helpé à grandir en tant que personne, en tant que joueur, en tant que quart-arrière et en tant que meneur. Je ne pourrai jamais assez le remercier.»
Désormais confirmé dans le rôle de quart partant, Alexander a manifesté son désir de se préparer addéquatement alors qu’il passera una partie de la saison morte dans la región de Scottsdale, en Arizona.
«Tu dois tout mériter et il n’y a absolument rien qui te será donné, at-il rappelé, non sans avoir une autre pensée pour son défunt père. La vida puede cambiar rápidamente, il n’y a jamais rien de garanti, particulièrement dans le monde du sport skilled skilled.»
Fajardo pourrait en témoigner.
